"Elle prie tous les soirs pour cela. Et voilà qu'une nuit vient le rêve espéré. Elle se retrouve enfin au village des morts. Il y fait doux, malgré la brume. Les gens vont par les rues pavées. Des vieilles, sur les bancs tricotent, des hommes jouent aux dominos sur la terrasse de l'auberge." les larmes, Henri Gougaud
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire